mardi 31 juillet 2012

Rencontres en Juillet

Deux évènements ont confirmé le succès d'Aveyron Croatie, la nuit et de Passeport pour le Pays de Cocagne.
Le Salon du Livre de La Fouillade (12) qui s'est tenu les 21 et 22 Juillet a une fois encore connu une belle affluence ; sur ces terres rouergates, Aveyron Croatie, la nuit a battu un record de ventes, même si ceux qui ont eu vent de la révolte de 1943 sont de plus en plus rares.
Plus modeste, l'exposition "Monteils un autre regard" (82) a pour sa première édition attiré un nombre respectable d'amateurs d'art sous différentes formes. Là aussi, Aveyron Croatie, la nuit a connu un beau succès. Quant au Passeport pour le Pays de Cocagne, il a reçu un accueil enthousiaste, la présence des deux signataires n'y étant sans doute pas étrangère...
Ce furent donc deux moments de rencontre très sympathiques et très encourageantes, démontrant que si le livre est de moins en moins souvent un achat d'impulsion, il garde tout son intérêt lorsqu'une rencontre avec l'auteur, par exemple, le ramène dans le champ littéraire.

lundi 16 juillet 2012

Passeport pour Monteils, un autre regard...

Du 20 au 29 Juillet 2012, la petite commune de Monteils dans le Tarn et Garonne (près de Caussade) organise une exposition multi-artistique, autour des thèmes peinture, photo, écriture, danse, céramique..., soit:
         - Monique Ghiretti, peintre non figuratif
         - Michel Poux, écrivain
         - Héloïse Quercy, céramiques
         - Monique Ferrero, peintre contemporain abstrait
         - Anne Marie Rantet-Poux, photographe
         - Annick Lafontaine, danse
         - Monique Vidal, peintre
         - Michel de Grande, pastelliste
         - Cécile Zygalski, photographe de l'imaginaire...
Vous aurez noté la présence des deux signataires du "Passeport pour le Pays de Cocagne", votre serviteur et AM Rantet-Poux.
Si vous trainez par là, passez dire bonjour !
Renseignements 05 63 93 13 39.

mardi 3 juillet 2012

Torpeur festivale

Peut-être les "hasards de l'actualité", comme disent les journalistes, offriront-ils quelque évènement (catastrophe, accident, attentat, viol, disparition...) qui viendra rompre la "torpeur estivale" (comme écrivent les mêmes journalistes), mais il semble bien que l'été soit là.
Il y aura bien cet après-midi le discours de politique générale du premier ministre, mais l'exercice semble convenu : le réel qui revient ne dira jamais son nom.
Certes le Tour de France, puis les JO, meubleront le temps qui ronronne.
Heureusement on verra fleurir, dans le moindre village doté d'un statut de sous-chef lieu de canton, des festivals, salons, concerts, rencontres, plages, nuits, etc... L'honorable y côtoie souvent le pire.
Dans les régions un tant soit peu touristiques, il y a longtemps que l'actualité estivale déborde de fêtes des moissons, de la lavande, des fruits, d'intervilles ou de courses de carrioles. On savait que le tourisme amènerait les indigènes à devenir ce que les touristes attendent, bien souvent des images du XIXème siècle ou du ludique intellectuellement accessible ; on n'imaginait pas les trésors de créativité et d'imbécilité qui se couvaient là.
Pour le reste, Philippe Muray a bien analysé la chose avec son concept d'homo festivus. J'y reviendrai.
Oui, bon, finalement, après tout, le Tour et les JO...
"Ce devant quoi une société se prosterne nous dit ce qu'elle est."